N

Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno

On a tondu les moutons, et filé la laine
Et réparé la moto avec la clé allen
On a rencontré des filles pas du tout vilaines
Avec elles il y avait la Marie ranouen
On a respiré du trichloréthylène
Et le lendemain on avait mauvaise haleine

Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno

Y a trois francs de réduction sur les chocos BN
Alors pour en profiter on les prend par douzaines
On s'est envoyé une bonne bouteille de chouchen
A la fin elle était vide elle était plus pleine
Après on a fait du stop avec les bigoudènes
Et on est allés en boîte mais y avait qu'des lesbiennes

Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno

On a jeté tous les Parisiens dans la Seine
On a noyé en même temps toutes les Parisiennes
On a trouvé du pétrole aux îles Kerguelen
Et après on est parti pécho la sirène
Ah y en a un qu'j'oublie toujours oh c'est Saddam Hussein
Celui-là nous pompe l'air comme Jean-Marie Le Pen
On s'est roulé un cinq feuilles avec du pollen
Et après on est tombés dans le lagen

Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno

Si notre chanson vous a plu oh donnez vous la peine
De nous payer un bou coup pour reprendre haleine
Je n'me souviens plus de la suite alors c'est pas la peine
De toute façon ce qu'il fallait c'est une rime en "N"

Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno

et la c'est la drame un sup de co en bonne santée apparente vient de peter un plomb

en même temps il se croyait seul... t'as jamais chanté sous la douche Djiz ?

oui mais dans ce forum t jamais seul je le hante toujours

oui mais

NANANANANANANA n'a pas l'air d'être un habitué... il ne sait donc pas que tu hantes les forums...

à moins que NANANANANA n'infirme mes propos...

Je suis seul popotin dans le vent,
Comme c'est déprimant
Sous mon imperméable ce cache un string moulant
Je sents d'içi l'odeur des petits enfants
J'les aimes un peu beaucoup à la folie excessivement
A la sortie des garderies ou des écoles maternelles
J'éxibe mon derrière à des petites pucelles
Chatouilles papouilles quant elles viennent me tirer les poils
J'leures files une bonne raclée dans la face
Qu'est ce qu'on se poil
Caroline était une mimi jolie petite fille
J'repense à elle à nous a son p'tit corps fragile
A nos calins sensuels dans les poubelles de la ville
A ces coups de pied mortels dans mes bijoux de famille

Car je suis l'homme tout nu qui touche à ton corps
L'homme tout nu qui touche à ton corps
Je suis l'homme tout nu qui touche à ton corps...
...Sans limite

Comme un pauvre mec frustré
je cherches à prendre le coeur
Des jeunes, des vieux, des animaux, des camioneurs
L'amour pour moi n'a jamais de limite je suis toujours en chaleur
Au fond des caniveaux sur les aîres d'autoroute
Dans une boite de travlos sur un grand terrain d'foot
en costard, en cuir, en caleçon
Je suis toujours prêt à te montrer mon sex
J'me suis caché, j'suis pousuivit par les poulets
Pour atentat à la pudeur et détourn'ment de mineur
On me traitre De pouilleux, d'obsèdé incestueux
De pervers, pédophile, zoophile, gérontophile
Je suis parti mazeau avec un vieux cageot
Que j'avais rencontré dans une boite de nimphos
Quand je nous regardes pourrir dans le même cachot
Je me dit mon vieux dans la vie ta fais que des fiascots

Car je suis l'homme tout nu qui touche à ton corps
L'homme tout nu qui touche à ton corps
Je suis l'homme tout nu qui touche à ton corps...
...Sans limite

Ho ho Choum prend le microphone écoute mon vieux comme ça déchire
Pour te parler d'un nimphoman excibitioniste
Il était minable, il était pourrave, il était vraiment lamentable
Il était vilain, méchant, pas beau rrrpeu! beurk caca boudin...
...Le monsieur

Je repense à moi, 60 piges clochard, mochérité
Je passes toutes mes nuits sur une paillasse qui sent mauvais
Au stade ou j'en suis fini les excès
Overdose de chaleur maintenant je suis blasé
Les gamins, les mémés, les travlos, les poulets
Les petites filles coquettes en jupons je les aient toutes niquées
Ma vie est une orgie Paris un gros bordel je n'suis qu'un pauv' mec... mortel

Car je suis l'homme tout nu qui touche à ton corps
L'homme tout nu qui touche à ton corps
Je suis l'homme tout nu qui touche à ton corps...
...Sans limite

Car je suis l'homme tout nu qui touche à ton corps
L'homme tout nu qui touche à ton corps
Je suis l'homme tout nu qui touche à ton corps...
...Sans limite

Sinon c sympa de mettre du Mathmata

Je hante toujours

ou pas

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EUHHH 932

C’est la lutte finale :
Groupons-nous, et demain,
L’Internationale
Sera le genre humain.

Debout ! les damnés de la terre !
Debout ! les forçats de la faim !
La raison tonne en son cratère,
C’est l’irruption de la fin.
Du passé faisons table rase,
Foule esclave, debout ! debout !
Le monde va changer de base :
Nous ne sommes rien, soyons tout !

Il n’est pas de sauveurs suprêmes :
Ni Dieu, ni César, ni tribun,
Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes !
Décrétons le salut commun !
Pour que le voleur rende gorge,
Pour tirer l’esprit du cachot,
Soufflons nous-mêmes notre forge,
Battons le fer quand il est chaud !

L’Etat comprime et la loi triche ;
L’impôt saigne le malheureux ;
Nul devoir ne s’impose au riche ;
Le droit du pauvre est un mot creux,
C’est assez languir en tutelle,
L’Egalité veut d’autres lois ;
“ Pas de droits sans devoirs, dit-elle,
Egaux, pas de devoirs sans droits ! ”

Hideux dans leur apothéose,
Les rois de la mine et du rail
Ont-il jamais fait autre chose
Que dévaliser le travail ?
Dans les coffres-forts de la bande
Ce qu’il a créé s’est fondu.
En décrétant qu’on le lui rende
Le peuple ne veut que son dû.

Les Rois nous soûlaient de fumées,
Paix entre nous, guerre aux tyrans !
Appliquons la grève aux armées,
Crosse en l’air et rompons les rangs !
S’il s’obstinent, ces cannibales,
A faire de nous des héros,
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux,

Ouvriers, paysans, nous sommes
Le grand parti des travailleurs ;
La terre n’appartient qu’aux hommes,
L’oisif ira loger ailleurs.
Combien de nos chairs se repaissent !
Mais, si les corbeaux, les vautours,
Un de ces matins, disparaissent,
Le soleil brillera toujours !


C’est la lutte finale ;
Groupons-nous, et demain,
L’internationale
Sera le genre humain

Hey ben c les anciens du gaz qui seraient heureux avec cette chanson